- EAN13
- 9782850610103
- ISBN
- 978-2-85061-010-3
- Éditeur
- 1er Parallèle
- Date de publication
- 10/10/2019
- Nombre de pages
- 295
- Dimensions
- 22 x 14,5 x 2,3 cm
- Poids
- 408 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Ce livre est en stock chez un confrère du réseau leslibraires.fr,
Cliquez ici pour le commanderAutre version disponible
" Aujourd'hui, allumer un réverbère, un luminaire, c'est éteindre les étoiles, c'est fermer la fenêtre sur le ciel étoilé. "
Un des premiers livres sur une question environnementale fondamentale : la disparition progressive de l'obscurité du fait de la pollution lumineuse.
" Sauver la nuit " : cette revendication se fait chaque jour plus pressante. Aujourd'hui, la Voie lactée n'est plus visible pour plus d'un tiers de l'humanité. 83 % de la population mondiale vit sous un ciel entaché de pollution lumineuse. Or, on connaît désormais les effets négatifs de la lumière artificielle sur l'environnement (érosion de la biodiversité) et sur la santé (troubles de l'horloge interne, influence de la mélatonine sur le développement de certains cancers, etc.).
" Nous laissera-t-on un ciel à observer ? " demandaient déjà les astronomes amateurs dans les années 1970. Samuel Challéat raconte l'émergence du " besoin d'obscurité ", concomitant au développement urbain, les solutions actuellement mises en œuvre pour répondre à ce besoin, et la manière dont il est devenu un enjeu politique et économique. Économique, car dès lors que l'obscurité est rare, elle est chère, et donc potentiellement monétisable.
Bien commun ou produit marchand, comment " sauver la nuit " au bénéfice de tous ?
Un des premiers livres sur une question environnementale fondamentale : la disparition progressive de l'obscurité du fait de la pollution lumineuse.
" Sauver la nuit " : cette revendication se fait chaque jour plus pressante. Aujourd'hui, la Voie lactée n'est plus visible pour plus d'un tiers de l'humanité. 83 % de la population mondiale vit sous un ciel entaché de pollution lumineuse. Or, on connaît désormais les effets négatifs de la lumière artificielle sur l'environnement (érosion de la biodiversité) et sur la santé (troubles de l'horloge interne, influence de la mélatonine sur le développement de certains cancers, etc.).
" Nous laissera-t-on un ciel à observer ? " demandaient déjà les astronomes amateurs dans les années 1970. Samuel Challéat raconte l'émergence du " besoin d'obscurité ", concomitant au développement urbain, les solutions actuellement mises en œuvre pour répondre à ce besoin, et la manière dont il est devenu un enjeu politique et économique. Économique, car dès lors que l'obscurité est rare, elle est chère, et donc potentiellement monétisable.
Bien commun ou produit marchand, comment " sauver la nuit " au bénéfice de tous ?
S'identifier pour envoyer des commentaires.